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Les excuses

Un homme qui porte des chaussures de femme, un coiffeur qui n’en est pas un, et un homme attaqué par un ours: voici un aperçu des excuses les plus farfelues pour justifier un retard au travail.

Il y a une multitude de raisons pour arriver en retard au travail. Dans le cadre d’un sondage, CareerBuilder USA a collecté les excuses les plus saugrenues. Si certains employés semblent visiblement manquer de chance, d’autres n’hésitent pas à trouver des excuses quelque peu fantaisistes.

Un homme en talons aiguilles

En quittant son appartement, un employé avait enfilé par inadvertance les chaussures de la compagne de son colocataire. Alors qu’il était déjà en route, il réalise son erreur et dut retourner chez lui pour changer de chaussures.

L’employée loyale

Un matin, une employée était tellement absorbée par ses pensées qu’elle s’est rendue – sans le vouloir – chez son ancien employeur.

La crise conjugale

L’épouse d’un employé était en colère contre son mari. Pour expliquer son retard, l’employé explique que sa femme avait mis ses clés de voiture dans un verre rempli d’eau et qu’elle l’avait placé au congélateur.

Le «coiffeur»

Avant de se rendre au travail, un employé avait essayé de «rapidement» se couper les cheveux lui-même, mais la tondeuse avait rendu l’âme alors qu’il n’avait pas terminé. Il dut alors se rendre chez un coiffeur, afin que celui-ci répare les dégâts.

L’accoucheur

Pour justifier son retard, un collaborateur explique qu’en se rendant sur le lieu de son travail il a aidé une femme à accoucher au beau milieu de la rue.

La maman canard

Une collaboratrice avait tenté d’expliquer son retard en affirmant qu’elle avait dû mettre un imperméable à un petit canard décoratif dans son jardin. En effet, la météo avait annoncé de la pluie et elle ne voulait pas que son «animal» ne se retrouve mouillé.

Attaqué par un ours

Un employé est arrivé en retard parce qu’un ours avait attaqué sa voiture. Pour prouver qu’il n’inventait rien, il présenta une photo de l’incident.

L’alcoolique

Dans certains états américains, les conducteurs qui ont souvent été arrêtés en état d’ébriété doivent équiper leur voiture d’un dispositif spécial permettant de mesurer le taux d’alcoolémie du conducteur avant qu’il ne prenne le volant. La voiture de l’employé concerné n’avait pas démarré parce que l’appareil indiquait qu’il était en état d’ébriété.

Piégée par son journal

Comme chaque matin, une employée voulait s’acheter un journal dans un distributeur de journaux comme on en trouve fréquemment aux Etats-Unis. Alors qu’elle voulait payer son journal, son portemonnaie tombe dans la boîte. Elle a tenté en vain de le récupérer, la monnaie était également dans la boîte.

(Source: careerbuilder.de)