code de conduite de la Croix-Rouge genevoise

État au : 19 novembre 2020

Les collaborateurs-trices, les bénévoles et les membres du Comité de la Croix-Rouge
genevoise, s’obligent :

• à agir en accord avec les valeurs de la Croix-Rouge et dans le respect des lois,
  règlements et directives applicables, et

• à éviter tout comportement susceptible de léser la Croix-Rouge genevoise, sa réputation
  ou ses bénéficiaires.

En conséquence, ils-elles s’engagent à :

• protéger les droits des bénéficiaires, des bénévoles et des employés de la Croix-Rouge
  genevoise, veiller à entretenir des rapports interpersonnels respectueux et s’engager à
  faire cesser les comportements qui dévalorisent autrui ;

• se comporter en tout temps avec professionnalisme, intégrité et exemplarité et exercer
  son activité pour la CRG en toute indépendance, dans le seul intérêt de la CRG ;

• utiliser les ressources à disposition de façon efficiente et dans le respect du
  développement durable.

Ce qui implique notamment de ne pas adopter, respectivement de ne pas tolérer, les
comportements suivants :

• le mobbing, la discrimination et le harcèlement sexuel ;
• la tricherie ;
• la corruption, y compris l’acceptation de cadeaux et d’avantages (en espèces ou en
  nature) sauf les cadeaux d’usage;
• les conflits d’intérêts.

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La violation du Code de Conduite doit être signalée par la voie hiérarchique à moins que
celle-ci ne s’avère inappropriée. Dans ce cas, la violation peut être signalée au Gardien du
Code de conduite désigné par le Comité de la Croix-Rouge genevoise.
Celui-ci aura la mission de :

• accueillir les communications faites par les collaborateurs, bénévoles, membres du
  Comité de la CRG et entendre les personnes qui portent cette communication.

• comprendre ce dont il s’agit et déterminer s’il y a lieu d’entrer en matière.

• transmettre la communication à l’organe compétent pour l’instruire et prendre les
  mesures qui permettent de remédier à la violation du Code de conduite, en respectant
  strictement la confidentialité.

• s’obliger à respecter en tout temps une stricte confidentialité de la personne qui porte la
  communication de façon à ne pas exposer son identité en la rendant reconnaissable.

• faire un rapport annuel au Comité sur le nombre de cas communiqués, le type de
  violation rapportées et le nombre de cas transmis à l’organe compétent pour les traiter.

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